Division 1 Arkema https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=399 Entrées d’index fr 0 Le modèle économique de la Division 1 Féminine https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=312 Le modèle économique du football professionnel féminin français a été encore peu étudié. En France, l’exemple du championnat de Division 1 Arkema révèle tout d’abord un déséquilibre compétitif, selon l’indice de Noll-Scully, autour de deux clubs, L’Olympique Lyonnais et le Paris Saint-Germain, qui survolent le championnat tout en brillant en Ligue des champions. Cette domination s’accompagne d’une métropolisation du football féminin de haut niveau souvent adossé à des clubs de Ligue 1. Les revenus des clubs de Division 1 restent médiocres et proviennent surtout des droits TV et du sponsoring, mais très peu des recettes au guichet et du transfert de joueuses. Un déséquilibre qui produit de l’endettement, accroit la dépendance à l’égard de l’équipe masculine de Ligue 1 et menace de relégation les petits clubs tels que Fleury ou Soyaux. The economic model of French women’s professional football has been little studied. In France, the example of the Division 1 Arkema championship reveals a competitive imbalance, according to the Noll-Scully measure, around two clubs, Olympique Lyonnais and Paris Saint-Germain, who dominate the championship while shining in the Champions League. This domination is accompanied by the metropolisation of top-level women’s football, often backed by Ligue 1 clubs. The revenues of Division 1 clubs remain mediocre and come mainly from TV rights and sponsorship but very little from box office receipts and player transfers. An imbalance that produces debt, increases dependence on the Ligue 1 men’s team and threatens small clubs such as Fleury or Soyaux with relegation. lun., 06 mars 2023 14:49:38 +0100 mar., 25 avril 2023 12:24:12 +0200 https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=312