stadium https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=495 Entrées d’index fr 0 Anvers, place forte du football belge (1880-1939) https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=604 La ville d’Anvers a joué un rôle essentiel dans le développement du football belge de la fin du xxe siècle à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Le poids économique et démographique du port a pu permettre la naissance de deux grandes équipes, l’Antwerp FC (1880) et le Beerschot AC (1899). Le développement d’un secteur associatif et d’un football corporatif puissant nourrissent l’intérêt pour le football et des clubs qui dominent le football belge dans l’entre-deux-guerres. La construction et l’extension de stades pouvant accueillir jusqu’à 50 000 spectateurs témoignent de la vigueur de la place d’Anvers qui voit les joutes annuelles entre les sélections belge et hollandaise, autrement dit la « fête nationale du football belge ». Le football anversois a aussi été influent par l’intermédiaire de ses dirigeants avec notamment Alfred Verdyck, secrétaire-général de la fédération belge de 1911 à 1954. The city of Antwerp played a key role in the development of Belgian association football from the end of the 20th century to the eve of the Second World War. The economic and demographic weight of the port enabled the birth of two major teams, Antwerp FC (1880) and Beerschot AC (1899). The development of an associative sector and powerful corporate football fuelled interest in football and the clubs that dominated Belgian football between the wars. The construction and extension of stadiums with a capacity of up to 50 000 spectators testified to the vigour of Antwerp, which saw the annual matches between the Belgian and Dutch national teams - in other words, the “national festival of Belgian football”. Antwerp football was also influential through its leaders, notably Alfred Verdyck, secretary-general of the Belgian FA from 1911 to 1954. jeu., 02 mai 2024 11:13:37 +0200 jeu., 02 mai 2024 11:17:18 +0200 https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=604 « Ici Colombes » : le stade Yves-du-Manoir, « terre sacrée » du rugby français ? https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=489 Le premier match de rugby sur la pelouse de Colombes est disputé en 1908 par le Racing Club de France. Les dirigeants du club profitent des Jeux de 1924 pour construire une vaste enceinte qu’ils utiliseront toutefois de manière irrégulière pour les matchs de leur équipe de rugby. Du fait de l’éloignement de Paris, ils préfèrent notamment le stade Jean Bouin et, aujourd’hui, pour les rencontres du Racing 92, la Paris Défense Arena. En revanche, Colombes est le stade de l’équipe de France de rugby qui y gagne son premier match du Tournoi des Cinq Nations. Entre 1924 et 1972, les Bleus y disputent même l’essentiel de leurs rencontres, y battent pour la première fois les All Blacks (1954), gagnent leur premier Tournoi (1959) et leur premier grand chelem (1968). Toutefois, si les retransmissions télévisées en font un cadre familier des amateurs de rugby, leurs matchs remplissent rarement tout à fait la vaste enceinte de Colombes. The first rugby match on the Colombes pitch was played in 1908 by the Racing-Club de France. The club’s officials took advantage of the 1924 Games to build a vast stadium, which they used irregularly for their rugby team’s matches. Because of the distance from Paris, they preferred the Jean Bouin stadium and, today, for Racing 92 matches, the Paris Défense Arena. On the other hand, Colombes is the stadium of the French rugby team, which won its first match in the Five Nations tournament there. Between 1924 and 1972, Les Bleus even played most of their matches there, beating the All Blacks for the first time (1954), winning their first tournament (1959) and their first grand slam (1968). However, although television broadcasts have made it a familiar setting for rugby fans, they rarely fill the vast Colombes stadium to capacity. mar., 05 sept. 2023 13:24:04 +0200 lun., 11 sept. 2023 14:34:32 +0200 https://preo.ube.fr/football-s/index.php?id=489